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  • L'Union fait la force     -     Source : Le Journal de la Haute Marne     -     1er Trimestre 2013
  • MCM a su rebondir     -     Source : C'est Meusien et ça marche bien !     -     Décembre 2013

 

 

Energic 52 - 55 : Penser collectif !

Depuis le mois d'avril, Faouzi Doghmi a pris la présidence de l'association Energic 55-52, qui réunit des entreprises meusiennes et haut marnaises. Forte d'un chiffre d'affaire de 22 millions d'euros en 2011, la structure espère passer un nouveau cap grâce aux deux groupements (GIE) récemment crées. Rencontre. 

Les Tablettes Lorraines : Comment est née l'aventure d'Energic ?collectif

Faouzi Doghmi : Suite à la décision d'installer le projet du laboratoire à Bure, une dynamique globale s'est crée et a profité dans un premier temps au personnes qui géraient les ingrastructures. L'idée a ensuite germé dans le tête de Gérard Longuet et de plusieurs industriels de lancer une action mettant en relation les entreprises de Meuse et de Haute-Marne avec les grands donneurs d'ordres qui interviennent dans le domaines de l'énergie. Il y avait un frein psychologique qu'il fallait dépasser pour se positionner sur ces marchés. Au démarrage, l'assiociation est née à la volonté de quatre industriels.

Y avait-il une certaine impatience du monde industriel qui s'est pris en main pour justement profiter de ces marchés ?

Cette impatience était légitime, car certaines entreprises avaient décidé de se structurer mais l'inertie était grande. Il a fallu se déplacer et instaurer des relation de confiance. D'où le rôle de l'association pour déverrouiller certaines situations. Areva et EDF ont joué le jeu dès le début. Après, c'est un travail de longue haleine Et après un démarrage timide, on a atteint, en 2011, 22 millions d'euros de chiffres d'affaires.

Vous avez été élu président il y a un mois. Votre action s'inscrit-elle dans la continuité ?

Totalement, même si chaque présidents apporte son caractère. Le président n'est toutefois pas seul, il agit en lien direct avec la vision partagée par le conseil d'administration. On a tous une double mission, ce qui signifie promouvoir l'association et les créneaux de développement possible, donc penser collectif et comme nous sommes tous également des entrepreneurs, on éspère un effet sous-jacent, qui sera forcément profitable pour nos entreprises individuelles.

2011 marque-t-elle une nouvelle étape avec la labellisation de l'association en grappe d'entreprises et le lancement des deux GIE ?

L'association s'est crée de manière empirique en 2007. Par son évolution et ses composantes avec 98 membres, de nouveaux cadres de travail s'imposent. Aujourd'hui, on veut créer des conditions commerciales d'échanges à l'intérieur même de notre association avec l'organisation d'un salon interne afin de faciliter les prises de marché des entreprises de services.

Comment sont nés les deux GIE ?

Certaines entreprises ont acquis des certifications mais ne parvenaient pas a se positionner sur de gros marchés. A partir de 2009, on a voulu provoquer un effet de palier. On a donc cherché une solution pour aller plus loin. Certains groupements momentanés se sont constitués. Ces initiatives n'ont pas été converties en commandes, toutefois, ça a démontré notre volonté de sortir du cadre fixe de nos entreprises. C'est le marché qui provoque l'association. Finalement, deux GIE ont été créés il y a quelques mois. Chacun a un capital et des statuts, un dirigeant et une organisation. On met a disposition nos moyens pour approcher des marchés ciblés à l'intérieur des problèmatiques de l'énergie avec le GIE qui se positionne sur les marchés de centrales hydrauliques, et l'autre GIE qui s'est spécialisé dans le levage-manutention non standard. Les deux groupements sont opérationnels et ont déjà décroché des affaires. Les associations doivent permettre d'apporter une dynamique. Mais le plus important est de pérenniser les marchés, développer notre tissu industriel et créer des emplois.

Source : Les Tablettes Lorraines

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PME : L'union fait la force... de frappe !

Areva et EDF ont été sollicités

Dans la Meuse, c’est le projet de création du laboratoire de stockage de déchets nucléaires de Bure qui incite cinq entrepreneurs, dont Faouzi Doghmi, à se fédérer en 2007. La création de ce site oblige en effet Areva, EDF et l’Andra (l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs) à soutenir l’activité économique des deux départements concernés, la Meuse et la Marne. « Au départ, ces financements semblaient plutôt orientés vers les infrastructures et la gestion de l’urbanisation, raconte Faouzi Doghmi. Les industriels locaux se sont donc inquiétés. Cela n’a pas échappé à Gérard Longuet [sénateur de la Meuse, NDLR], qui a organisé une première rencontre avec EDF, Areva et l’Andra. Et c’est de là qu’est née l’idée d’une association regroupant les PME locales susceptibles de travailler à terme pour ces donneurs d’ordre. Cela s’est créé de façon un peu empirique, avec une forte connotation métallurgique parmi les entreprises, mais aussi des sociétés aux activités très variées allant des vendeurs de photocopieurs aux artisans du bâtiment ou du transport ».

Energic ST 52/55 grandit très vite, en effet, pour arriver à 88 adhérents fin 2011 et à une centaine aujourd’hui. Et elle se structure pour aider ses membres à se positionner sur ces marchés de l’énergie, tout nouveaux pour eux. « Au départ, nombre d’entre nous n’imaginaient pas possible de le faire. Pourtant, fin 2011, ces marchés représentaient 20 millions d’euros de chiffre d’affaires, tous adhérents confondus », indique Faouzi Doghmi.

Un plus pour répondre aux appels d'offre

Mais plusieurs adhérents à Energic, et notamment MCM, décident de ne pas en rester là. « À partir de 2010, nous nous sommes interrogés sur la façon de franchir des paliers supplémentaires dans les appels d’offres, poursuit Faouzi Doghmi. Et nous avons considéré qu’il devenait impératif qu’un certain nombre d’entre nous apprennent à travailler ensemble. »

Deux GIE sont donc créés en 2011, l’un rassemblant cinq PMI travaillant dans le levage et la manutention, et l’autre fédérant quatre sociétés capables de prendre des marchés en maintenance et hydraulique. MCM fait partie de ces deux GIE. « Cela nous donne la capacité de remporter des marchés plus importants, indique son PDG. Nous visons des marchés très ciblés et c’est le GIE qui assure la gestion pour l’ensemble de ses membres, avec des règles acceptées par tous ».

Grâce à ces groupements, le groupe MCM, qui emploie 75 personnes, réalise désormais 30% de ses 6,5 millions d’euros de chiffre d’affaires dans l’énergie.

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Source : La Tribune

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Le Groupe MCM poursuit sa "phase ascendance"

Le groupe MCM, qui englove la Meusienne de construction mécanique à Ancerville et Orflam Industries à Saint dizier, pousrsuit sa "phase ascendante" selon les deux gérants. Le binôme s'appuie notamment sur les géants de l'énergie.

C'était il y a peu de temps et et longtemps en même temps. En 2009, le groupe MCM connaissait sa pré-crise, avec une période de redressement judiciaire. Une étape qui aurait pu donner l'idée aux gérants-créateurs de la Meusienne de construction mécanique, toujours en poste aujourd'hui, de céder. De chercher un holding pour se sauver d'une situation délicate. Mais risquer aussi de céder le pouvoir.

Finalement, un redressement et une crise économique encore palpable plus tard, Didier Guibourt et Faouzi Doghmi n'ont rien lâché. Et font preuve d'un relatif optimiste. Co-gérants (le premier en charges des secteurs industriel et commercial, le second, de la logistique), ils savourent à la fois la reprise de leur affaire. Et la reprise tout court.

Chaudronnerie et soudure à la ZI de Trois-Fontaines

Aujourd'hui, ils ont fait le choix de rapatrier tout l'administratif sur un seul de leur deux sites, à Ancerbille, celui de la MCM. Tout en conservant l'usine Orflam Industries (groupe MCM), zone industrielle de Trois-Fontaines à Saint Dizier.

"Ca nous permet de garder une grosse unité à Saint Dizier, où l'on assemble de grosses pièces, avec la partie soudure et chaudronnerie là-bas. On gère les plus petites parties ici, à Ancerville" explique Didier Guibourt.

La spécialité de l'entreprise : la mécanique de pièces, chaudronnées, usinées, et la réalisation de grosses pièces mécaniques pour les géants de l'énergie que sont EDF, Areva, Comex comme c'est le cas au plus près de chez nous avec le site de Bure-Saudron, l'Andra (Agence nationale pour lagestion des déchets radioactifs). "Les cliens de l'énergie représente 30% de notre chiffre d'affaire", précise Faouzi Doghmi qui parle de "clients majeurs pour continuer à se développer".

"L'opportunité de travailler avec les énergéticiens"

"Toute l'opportunité qui s'est présentée à nous de travailler avec des énergéticiens", Faouzi Doghmi et la MCM l'ont saisie. En recrutant un ingénieur dédié aux énergies notamment. Et en embauchant, simplement. Aujourd'hui, le groupe compte 70 salariés contre 40 il y a trois ans. Une équipe chargée d'honorer des commandes variées : des retourneurs avec alternateurs mécanique pour les centrale thermique, électrique ou nucléaire, des vannes pour l'hydraulique, des transporteurs de générateurs...

"Il y a énormément de segments différents" explique Didier Guibourt, qui n'oublie pas cependant les clients locaux de la sigérurgie, comme Hachette et Driout, a qui la MCM fournit des jantes de camions de chantiers pour le compte, ensuite, de Liebherr.

Les entreprise locales représente toujours une échange économique et industriel non négligeable pour la MCM. Et une volonté affichée de rester fidèle au territoire.

 Source : Le Journal de la Haute-Marne

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MCM Meusienne de Mécanique se lance dans la recherche

Avec la reprise cet été de la société Delfind à Longwy (Meurthe-et-Moselle), le groupe meusien élargit son offre de prestations et va développer ses activités.

Dans le cadre de la cession par Marc Lecomte, son dirigeant, qui restera quelque temps aux côtés des repreneurs, le groupe MCM Meusienne de Mécanique a repris la société meurthe-et-mosellane Delfind à Longwy. Cette dernière, spécialisée dans la fonderie des alliages cuivreux et le régulage, emploie une quinzaine de salariés et réalise un chiffre d'affaires de 1,1 million d'euros. « Cette opération de croissance externe nous permet de poursuivre notre stratégie d'élargissement de notre offre en nous appuyant sur le savoir-faire très particulier de la société Delfind. Nos activités sont complémentaires et nous avons un certain nombre de clients communs à la recherche de solutions complètes », explique Faouzi Doghmi, président du groupe meusien spécialisé dans la mécanique, la mécanosoudure et les machines spéciales.

C'est principalement l'activité régulage, qui vise à traiter les pièces mécaniques pour éviter les frottements et en réduire l'usure, qui a retenu l'attention des repreneurs. La mise en commun des moyens et des capacités d'usinage va permettre à MCM Meusienne de Mécanique et à Delfind d'élargir leur offre en proposant des pièces de plus en plus conséquentes, jusqu'à 10 tonnes. Le groupe étudie également la possibilité d'offrir un service complet aux clients, notamment des secteurs de l'énergie, de la sidérurgie et des cimenteries en proposant une activité de maintenance des pièces régulées (démontage, réparation, remontage).

« Dès la reprise, courant du mois d'août, nous avons pris contact avec le Centre de recherche et transfert de technologie (CRITT) de Bar-le-Duc pour mettre en place un projet de recherche, développement et innovation dans ce domaine d'activité », précise Faouzi Doghmi.

Créée en 1901, la Meusienne de Mécanique à Ancerville dans la Meuse est passée ensuite dans le giron du groupe sidérurgique Arcelor. En 2002, dans le cadre de l'externalisation de l'activité mécanique, la société a été reprise par deux cadres du groupe, Didier Guibourt et Faouzi Doghmi, aujourd'hui directeur technique et commercial et président.

Quelques années plus tard, l'entreprise a pris le contrôle de la société Orflam Industries, à Saint-Dizier (Haute-Marne), donnant naissance au groupe actuel, qui emploie dorénavant 80 salariés sur ses 3 sites industriels et réalise un chiffre d'affaires de 7 millions d'euros.

Le groupe est un sous-traitant de l'énergie, de l'armement, de la métallurgie-sidérurgie et du ferroviaire. Il dispose de moyens de production lui permettant de produire des pièces unitaires aussi bien que de petites ou moyennes séries allant de 15 grammes à 15 tonnes.

Source : Les Echos

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MCM a su rebondir

MCM a su rebondir

Installée au coeur d’un bloc de 5 000 m2 à Ancerville, l’entreprise MCM spécialisée dans la sous-traitance de mécanique génér ale a vite été confrontée à un problème de manque de superficie pour accompagner la croissance importante de ses clientsindustriels. La solution s’est traduite par l’acquisition d’Orflam Industries implantée à Saint-Dizier. Cette opération a permis de gagner de l’espace, des machines et surtout de profiter des compétences des ouvriers qualifiés. "D’une pierre trois coups, le groupe s’est structuré", se rappelle Faouzi DOGHMI, le PDG.

Cette belle progression a toutefois connu un vif accroc en 2009 avec la crise économique. A la tête d’une centaine de personnes, MCM a dû faire face à un redressement en stoppant l’activité d’un de ses ateliers de fabrication de pièces en série. Le site de Saint-Dizier a davantage été impacté par cette restructuration, mais la PME a pu continuer en divisant par deux son effectif. Compte tenu de la conjoncture économique difficile, la direction a choisi de revoir sa stratégie en se positionnant sur le marché des énergies, profitant de la dynamique de Bure. Il est vrai que MCM fait partie des quatre entreprises pionnières, qui ont été à l’initiative de la naissance d’Énergic S/T 52-55. Créée en 2007, cette association devait impulser une coopération entre les industries meusiennes et haut-marnaises d’un côté et la filière nucléaire de l’autre.

Marchés non concurrencés par les Pays émergents

rebondirMontrant l’exemple, le groupe s’est donné les moyens de répondre aux appels d’offres des centrales thermiques, hydrauliques et nucléaires en décrochant la certification NF 9001 ou encore la qualification UTO, précieux sésame permettant d’être référencé par EDF. L’entreprise a également pris le risque de créer une antenne commerciale, nécessaire pour suivre les dossiers, se vendre et être à niveau. Ce pari a rapidement porté ses fruits. Entre 2009 et 2011, 30% du chiffre d’affaires s’est développé en concevant de nouveaux produits. Cette orientation complète le dispositif du groupe, qui a su multiplier et diversifier ses marchés afin de dé-fragiliser les variations d’activités.

Et pour justement conforter sa pérennité, la PME a choisi cet été de reprendre la société Delfind installée à Longwy. Répondant au marché de niche du régulage, cette structure était limitée à la réalisation de petites pièces. Ce ne sera plus le cas. Pour apporter de nouveaux moyens, MCM adaptera son outil de production en investissant en 2013 dans une tour verticale de grosses pièces.

En diversifiant son activité et en se positionnant sur le marché exigeant des énergies non concurrencé par les Pays émergents, la Meusienne de Mécanique est parvenue à saisir des opportunités et à créer une nouvelle dynamique.

 Source : C'est Meusien et ça marche bien !!

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L'union fait la force

L’union fait la force

PhotoDoghmiHMar

Faouzi Doghmi dirige le groupe MCM dont les sites de production se trouvent à Saint-Dizier et Ancerville. Il préside aussi l’association Energic ST 52-55 qui regroupe une centaine de PME locales. Ces entreprises ont la volonté de se développer grâce à la présence actuelle dans la région de grands acteurs de l’énergie impliqués dans le laboratoire de recherche de Bure-Saudron.

A la rentrée, Energic ST 52-55 a organisé un salon inter-adhérents à Ancerville. C’était la première fois que l’association mettait sur pied une telle manifestation, depuis sa création en 2007. « Un certain nombre de chefs d’entreprise, notamment des responsables de sociétés du secteur des services, étaient demandeurs », précise Faouzi Doghmi.

Premier motif de satisfaction pour les chevilles ouvrières de l’opération, la pertinence de ce salon :         « Il répondait bien à une demande puisque la moitié de nos adhérents y ont participé. » Le président d’Energic ST 52-55 met également l’accent sur la richesse des échanges qui ont eu lieu, ce jour-là, entre les décideurs : « Le salon leur a permis de mieux se connaître et, ce faisant, d’adopter une configuration qui leur permet de travailler davantage ensemble. »

Mettre en relation les entreprises les unes avec les autres, voilà un des objectifs affichés par l’association. Car ce maillage ne peut que favoriser l’émergence de partenariats locaux. En effet, pourquoi donc aller chercher des compétences à l’autre bout de la France quand elles existent sur place ?

Créer une dynamique

Mais Energic ST 52-55 nourrit d’autres ambitions pour ses adhérents. Ces entreprises sont un peu comme des champions en puissance. Comme un coach, Energic ST 52-55 travaille à leur faire prendre conscience de leurs forces afin de les amener à se dépasser. De cette façon, elles pourront intéresser de nouveaux clients et décrocher de nouveaux contrats.

L’action de l’association s’inscrit dans la politique de développement économique local qui découle de la présence sur le terrain des “majors” de l’industrie nucléaire (EDF, Areva, CEA), liée à l’existence du laboratoire de recherche de Bure-Saudron. « Le constat est le suivant : nous avons ici, chez nous, des entreprises qui possèdent des compétences susceptibles de servir des marchés de ces grands donneurs d’ordre, souligne Faouzi Doghmi. Les cibles sont diverses, elles vont des besoins liés directement au laboratoire de Bure jusqu’à des marchés nationaux. C’est pourquoi nous nous employons à décrypter l’organisation de ces grands groupes industriels qui peuvent parfois sembler inaccessibles aux yeux de nos adhérents afin de pouvoir leur présenter des offres. »

Le pli est pris

Depuis cinq ans que les entreprises ont pris le taureau par les cornes, les choses ont bien évolué même s’il reste encore du pain sur la planche. Il existe aujourd’hui une synergie entre tous les acteurs de l’association qui adhèrent à cette démarche de progrès qui vise à élever les niveaux de savoir-faire et de qualification des entreprises. « L’union fait la force », souligne Faouzi Doghmi.

Les pouvoirs publics ne s’y sont pas trompés puisque l’association bénéficie aujourd’hui du label “grappe d’entreprises”.

Forte de cette reconnaissance, Energic ST 52-55 ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle veut favoriser la création de groupements d’entreprises afin que ses adhérents puissent emporter de nouveaux marchés. Des entreprises ont, par exemple, uni leurs forces pour travailler dans les domaines des centrales hydrauliques ou du levage et de la manutention spécialisés. L’association s’intéresse aussi aux possibles débouchés à l’étranger. Enfin, qui peut le plus peut le moins, les responsables d’Energic ST 52-55 estiment qu’il est tout à fait envisageable de se positionner dans les domaines de l’armement, de l’aéronautique et de l’espace, des secteurs qui ont les mêmes niveaux d’exigence que celui du nucléaire que les industriels locaux connaissent bien maintenant.

Source : Le Journal de la Haute Marne

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